Pour de nombreux artistes, la musique électronique n’a pas vraiment de frontières. Sa définition essentielle est la liberté.
En tant que DJ et producteur, Alex Niggemann s’est engagé à poursuivre les limites restantes entre la House et la Techno, gravitant ainsi autour des atmosphères mélancoliques qu’il aime.
Les encouragements de sa mère à jouer du piano dès son jeune âge et la collection de vinyles de son frère, lui ont permis d’avoir des bases musicales solides et variées.
Lors de sa première soirée techno, la vie d’Alex a complètement changé en écoutant les la musique électronique de Ken Ishii.
Des personnages légendaires, tels que Derrick May, Laurent Garnier, Kevin Saunderson et Emmanuel Top, ont également fourni des expériences clés pour le développement musical de l’adolescent.
Le premier achat de vinyle d’Alex Niggemann (à l’âge de 11 ans) était “The Funk Phenomena” (1996) d’Armand Van Helden ; un achat qui a fait naitre une obsession croissante de la musique électronique et qui fini par mener Alex à ses premiers sets de DJ.
Il a joué lors de soirées techno dans des clubs de sa ville natale Düsseldorf à l’âge de 16 ans. Mais à l’époque, la scène était fermée aux nouveaux venus et ce n’est qu’après qu’Alex s’installe à Berlin, l’épicentre européen de l’expression ouverte et de la créativité.
Il a étudié l’ingénierie audio (diplômé en 2007) et a sorti son premier remix (BookaShade “Darko”) en 2006. Malgré le succès de cette version, le novice, perfectionniste par nature, savait qu’il y avait un long voyage d’apprentissage.
La suite fut des concerts nationaux et sa première version unique “Assign Me” (Sportclub, 2008) – Snowballed dans le “Black Rose EP” pour Supernature (2009), le “Makayuni EP” pour les enregistrements 8 bits de Nick Curly.
La capacité toujours croissante d’Alex à fusionner le meilleur des influences anciennes et nouvelles pour créer un son entièrement nouveau peut clairement être entendue sur “Lately” (Pokerflat, 2011).
“Paranoid Funk” (2012), qui fut acclamé par la critique (encore une fois sous le label Poker Flat de Steve Bug) était encore un autre chapitre très important de son développement, montrant une gamme complète de possibilités artistiques passées, présentes et futures.
Une expérience créative qui a englobé toutes les influences d’Alex, pour définir son son à ce moment-là et capturer l’essence de son art artistique. La tournée mondiale d’albums de 3 mois, 40 dates qui a suivi, a permis une prise de conscience globale de ses talents exceptionnels.
C’est sa créativité sans relâche et son désir de construire une plate-forme pour la musique qui définit le côté plus timide et spirituel du spectre électronique, selon ses propres termes, qui a amené Alex à lancer son premier label, appelé ludiquementSoulfooled (2010). Il se concentre sur le côté profond de la musique House et évite l’uniformité en exploitant une veine plus mélancolique / mélodique / romantique. Le profil croissant de Soulfooled lui donne également la plate-forme pour soutenir et sensibiliser le public à d’autres artistes, une famille croissante d’âmes partageant les mêmes idées, dont Padlac, David Durango et Matthias Mayer.
Une énergie sans limites, une approche intrépide du travail acharné et un amour de la diversité musicale signifie que rien ne s’arrête pour Alex Niggemann. Comme son profil mondial en tant que DJ et producteur a continué de croître à un rythme exponentiel, la nécessité d’une autre plate-forme artistique représentative est apparue. AEON, lancé en avril 2013, faisant référence à l’esprit de la maison classique et intemporelle et de la techno. La base de fans toujours croissante du label et la longue liste des énormes sorties de Jona, Denis Horvat, SpeakingMinds et Alex lui-même, sont de bon augure pour un avenir très brillant.
En octobre 2014, «Abaton» (AEON) d’Alex Niggemann souligne son affinité pour la texture et le son défiant le genre, mélangeant des accords éthérés avec des synthés rigides pour une véritable bosse induite par une expérience auditive. Sa sortie “Materium” (Poker Flat), l’une des 10 pistes les plus marquées de 2014 sur RA, est la plus grande sortie d’Alex à ce jour, sa sensibilité à la navigation de genre, ce qui en fait un classique intemporel futur sûr. L’amour et le soutien de Sasha depuis longtemps pour la musique d’Alex lui ont permis de lancer la jolie “Symphonie de la Terre” sur Last Night OnEarth (2014).
Pendant ce temps, “Sorrow” (Watergate, 2014), a vu Alex faire ses débuts sur le label de la Une boîte de nuit de renommée mondiale de Berlin, il aime jouer (tous les 2-3 mois depuis 2010) et s’associer avec le chanteur acclamé Bon Homme, pour créer l’un des plus importants et mémorables parcours musicaux de l’année. Une belle “Afterhours Mix” pour le légendaire spectacle de la BBC Radio 1 de Pete Tong, a encore cimenté le statut d’Alex comme l’un des artistes les plus excitants du monde.
Alex Niggemann est bien connu pour avoir gracié les ponts lors des meilleurs clubs du monde.
Établissements, une liste toujours croissante qui, en Europe, comprend Watergate, Berghain /Panorama Bar dans sa ville natale, l’institut de clubbing de London, et la pièce maîtresse hédoniste de White Isle, Space Ibiza.
Les sets d’Alex sont aimés par les clubs, son programme de tournée mondiale sans escale lui permet maintenant de voyager de l’Europe vers l’Amérique du Nord, de l’Amérique du Sud vers l’Australie et vers l’Asie, divertissant les foules toute la nuit.
Alex Niggemann continue de forger son chemin jusqu’en 2015 et au-delà, sans avoir besoin de suivre les dernières manies musicales, tiré par sa passion et sa volonté d’atteindre ses objectifs et réaliser ses rêves. Sa force intérieure et sa confiance en soi ont façonné sa personnalité et l’ont aidé à devenir le DJ et le producteur inconnu qu’il est aujourd’hui, produisant de la musique exceptionnelle pure.